Marc Vanguard diffuse sur Twitter des éléments de statistique mettant en rapport criminalité et immigration. Nous republions son travail sur les Effrontés dans l’espoir que cela nourrisse chez le lecteur une réflexion raisonnable et mesurée, au lieu des réactions émotionnelles si fréquentes sur ce sujet. — TB
Analyse des statistiques officielles de quatre pays européens
L’état des lieux des violences sexuelles est alarmant. Dans les quatre principaux pays occidentaux de l’Union européenne (Allemagne, France, Italie, Espagne), on peut estimer à environ 100.000 les victimes de viols en 2021. 30% des mis en cause sont étrangers, alors qu’ils représentent 11% de la population, soit un taux de mis en cause 4 fois plus élevé que les nationaux.
La situation actuelle est héritée d’une décennie d’augmentation des violences sexuelles, qui ont en moyenne doublé entre 2012 et 2021 sur les quatre pays étudiés. Le cas de la France montre qu’avant l’effet de libération de la parole « me too », l’augmentation était déjà de +50%.
En France, bien que les étrangers soient minoritaires parmi les mis en cause pour violences sexuelles, ils sont assez clairement sur-représentés. En particulier les Africains, proportionnellement 3 fois plus mis en cause que les Français.
Chez nos voisins européens, la sur-représentation des étrangers dans les mis en cause pour viols est alarmante :
- Les étrangers représentent environ 40% des mis en cause.
- Les ressortissants africains sont proportionnellement environ 10 fois plus mis en cause que les nationaux !
Certaines nationalités sont bien plus sur-représentées que les autres parmi les mis en cause pour viols. Cette carte issue des 42.800 mises en cause pour viols répertoriées en cinq ans dans les données policières allemandes l’atteste clairement :
Si les étrangers sont nettement sur-représentés parmi les auteurs d’infractions sexuelles, c’est moins le cas parmi les victimes. L’exemple des transports franciliens (10 millions usagers) est parlant : 61% des mis en cause sont étrangers alors que 83% des victimes sont françaises.
Les violences faites aux femmes, ce sont aussi les mariages forcés. Seule l’Allemagne publie sur cette infraction : 85% des mis en cause y sont étrangers. Les étrangers issus de pays à majorité musulmane sont proportionnellement 100 fois plus mis en cause que les Allemands !
Les mineurs sont aussi touchés par les violences sexuelles. Selon les pays, les étrangers représentent environ 20 à 30% des mis en cause dans la pédocriminalité. En Allemagne, le taux de mis en cause des Afghans et des Pakistanais est 6 fois plus élevé que celui des Allemands.
Les chiffres pré-cités reposent sur la nationalité des mis en cause (étrangers ou non). Or, les données de différents pays montrent que les descendants d’immigrés extra-européens seraient encore plus impliqués dans la criminalité d’ensemble que la génération de leurs parents (voir le billet : Combien y a-t-il d’immigrés et de descendants directs d’immigrés dans les prisons françaises ?).
La France est le pays le plus opaque en termes de données, elle ne publie aucun tableur des mis en cause par nationalité contrairement à ses voisins (Allemagne, Italie, Espagne…)
Conclusion
Avec 75.000 victimes de violences sexuelles en 2021 (+170% en 10 ans), la France doit réagir. Les chiffres européens établissent la corrélation entre certaines immigrations et les violences sexuelles. Face à cette réalité, peut-on encore accueillir 300.000 immigrés par an ? Alors qu’environ 1 mis en cause sur 3 pour agression sexuelle dans les principaux pays occidentaux de l’UE est étranger, il est temps de passer d’une immigration subie à une immigration choisie.
Complément : les ressortissants européens sont-ils particulièrement impliqués dans les abus sur mineurs ?
Les statistiques de divers pays européens montrent que non — exemple de l’Allemagne ci-dessous :
Dans l’ensemble, les chiffres de la police allemande démontrent une forte sur-représentation des ressortissants d’Afghanistan + Pakistan.
Les infractions connexes confirment cette tendance :
La sur-représentation observée est d’autant plus frappante que dans l’ensemble de la criminalité, les Afghans et Pakistanais semblent bien moins impliqués. Exemple ici avec les vols violents :
L’Allemagne n’est pas un cas isolé, on retrouve les mêmes tendances dans les autres pays qui publient des statistiques détaillées. Exemple en Italie :
En Italie aussi, la sur-représentation ne se limite pas aux agressions, mais également aux infractions connexes :
La similarité des comportements criminels de populations de mêmes origines est stupéfiante, bien qu’on ait un échantillon habitant dans un pays latin, et un autre dans un pays germanique. Il suffit de mettre les infographies l’une à côté de l’autre pour s’en rendre compte
Les statistiques espagnoles sont moins détaillées, mais elles font également apparaître une sur-représentation d’ensemble des étrangers dans ce type d’affaires. Ils représentent 25% des mis en cause contre 14% de la population (catégorie « Corrupción de menores o incapacitados », 2021).
Bien entendu, cette sur-représentation ne veut pas dire que tous les étrangers sont des criminels, loin de là. Les populations européennes sont elles-aussi mises en cause et comptent à leur actif des criminels emblématiques bien connus.