Les seize commandements de la foune

Ceci est une nouvelle traduction en français d’un fameux billet du blog Château Heartiste, « The Sixteen Commandments Of Poon ». L’auteur, James C. Weidmann, dit « Roissy », fut l’un des piliers de l‘androsphère américaine entre 2007 et 2019. Ses réponses aux commentaires des internautes ont été ajoutées à la suite des seize commandements. — TB

I. Tu ne diras jamais « je t’aime » en premier

Les femmes veulent sentir qu’elles ont des obstacles à surmonter pour gagner le cœur d’un homme. Elles brûlent de s’emparer de l’attention d’un homme que d’autres femmes convoitent, et de l’emporter finalement sur ses réticences à accorder son engagement exclusif. L’homme qui offre son monde émotionnel trop facilement prive les femmes de la satisfaction d’avoir gagné son amour. Même si vous êtes amoureux, ne lui dite pas avant qu’elle l’ai dit. Montrez une retenue compatissante envers son besoin de galérer vers l’accomplissement de son yin. Donnez-lui la motivation de sauter le pas pour vous et elle vous le rendra au centuple.

II. Tu la rendras jalouse

Flirtez avec d’autres femmes devant elle. Ne dissuadez pas les autres femmes de flirter avec vous. Les femmes ne l’admettront jamais, mais la jalousie les excite. Penser que vous allumez une autre femme l’excitera sexuellement. Aucune nana ne veut un homme dont les autres femmes ne veulent pas. Celui qui maîtrise la tempête de la jalousie contrôle la direction de la relation.

III. Tu feras de ta mission, non de ta femme, ta priorité

Oubliez tous ces clichés romantiques du premier rôle proclamant son amour éternel pour la femme qui le complète. Bien qu’elles protestent du contraire, les femmes ne veulent pas être « la seule » ni le centre de l’existence d’un homme. Elles veulent en fait se subordonner au but existentiel d’un homme de valeur, pour l’aider à atteindre son but avec leur soutien féminin et suivre le chemin qu’il trace. Vous devez respecter l’intégrité d’une femme et ne pas lui mentir en disant qu’elle est « tout pour vous ». Elle n’est pas tout pour vous, ou si elle l’est, elle ne le sera bientôt plus.

IV. Tu ne joueras pas selon ses règles

Si vous permettez à une femme de choisir les règles elle vous en voudra avec un dédain bouillonnant que même un violeur n’inspirerait pas. La femme la plus forte et la féministe la plus stridente veulent être dirigées et se soumettre à un homme plus puissant. La polarité est le cœur d’une relation amoureuse saine. Elle ne veut pas avoir le privilège de vous marcher dessus avec ses exigences capricieuses et ses humeurs lunatiques. Ses émotions sont un ouragan, son âme une saboteuse. Considérez vous comme un rempart contre sa tempête. Quand elle cherche un pilier pour s’assurer contre les vents cinglants, ou aspire à une figure d’autorité pour contrecarrer ses pires instincts, c’est vous qui devez être là… Fort, solide, inébranlable et immuable.

V. Tu adhéreras à la proportion dorée

Donnez à votre femme les deux tiers de ce qu’elle vous donne. Pour trois appels ou messages, rendez-lui en deux. Trois déclarations d’amour en gagnent deux en retour. Trois cadeaux, deux sorties. Donnez-lui deux signes d’affection et attendez qu’elle vous en ait rendu trois. Quand elle parle, répondez avec moins de mots. Quand elle est émue, soyez moins ému. L’idée derrière la proportion dorée est double : établir votre valeur supérieure en la laissant vous poursuivre, et démontrer que vous avez assez de maîtrise pour éviter d’être emporté dans ses drames personnels. Vous retenir de lui rendre tout ce qu’elle fait pour vous en égale mesure lui instille l’attitude approprié de croyance en votre statut supérieur. Du fond des reins, c’est ce qu’elle veut vraiment.

VI. Tu la laisseras deviner

Fidèles à leur nature insondable, les femmes posent des questions dont elle ne veulent pas vraiment avoir de réponses directes. Malheur à l’homme qui joue la franchise ! Son destin est la souffrance du bêta. Soyez évasif, taquin, obscur. Elle s’épanouit quand elle doit imaginer ce que vous pensez d’elle, et s’étiole quand elle sait exactement ce que vous ressentez. Une femme peut vouloir la sécurité financière et familiale, mais elle ne veut pas de sécurité passionnelle. De la même manière, lorsqu’elle vous a déplu, punissez-la rapidement, mais lorsqu’elle vous à bien traité, récompensez-la doucement. Récompensez son bon comportement par intermittence et imprévisiblement, et elle ne se lassera jamais de faire des efforts pour vous plaire.

VII. Tu auras toujours un plan B

Ne vous laissez jamais aller à être un « homme acquis ». Un homme qui a des options est un homme sans besoins. Cela fortifie la confiance et encourage l’audace avec les femmes s’il y a une autre femme, un filet de sécurité, pour vous rattraper quand vous glissez et risquez une séparation, un divorce ou de rater un plan, conduisant à la solitude et à une rude traversée du désert. Une femme sait que lorsqu’elle couche avec un homme, elle abdique une partie de son pouvoir ; quand elle est tombe amoureuse de lui, elle capitule presque entièrement. Mais l’amour est éphémère et avec le temps elle peut redécouvrir son pouvoir et menacer de vous quitter. C’est son dernier atout. Retirer tout son amour et tout son corps en un instant vous déchirera l’âme si vous vous retrouvez à contempler l’abîme seul. Savoir qu’il y a une autre vers qui se tourner pour avoir de l’affection fortifiera votre volonté et satisfera votre virilité.

VIII. Tu ne diras pardon que lorsque ce sera absolument nécessaire

Ne dites pas pardon pour chaque chose que vous faites de travers. C’est une posture de soumission qu’aucun homme ne devrait adopter par réflexe, aussi alpha soit-il. S’excuser accroît l’attente d’excuses. Elle en viendra à anticiper votre contrition, comme un chat anticipe son repas à heure fixe chaque jour. Ensuite votre valeur baissera à ses yeux. Au lieu de cela, si vous avez fait quelque chose de mal, vous devriez reconnaître votre culpabilité de façon oblique, sans recourir aux mots « je te demande pardon ». Faites une manœuvre à la Bill Clinton et dites « il y a eu des erreurs » ou dites-lui que vous ne vous sentez pas bien à cause de ce que vous avez fait. Vous avez le droit à deux « pardon » pour la durée de votre relation ; utilisez-les à bon escient.

IX. Tu te connecteras à ses émotions

Différenciez-vous des autres hommes et connectez-vous avec le paysage émotionnel d’une femme. Son esprit est comme un monde étranger qui nécessite une habile navigation pour atteindre votre rendez-vous. Folâtrez dans les vagues d’émotions plutôt que dans l’aride désert de la logique. Soyez enjoué. Employez tous vos sens. Décrivez en détails luxuriants des scénarios pour mettre feu à son cœur. Donnez à vos sentiments la place de flâner. FLÂNER. Oui, c’est un bon mot. Vous n’êtes pas sur un chemin linéaire avec elle. Vous FLÂNEZ partout, en l’emmenant à l’aventure. Dans ce monde, il n’est nul besoin de finir ses pensées ou de tirer des conclusions. Le seul besoin est d’ÉPROUVER. Vous la prenez par la main et courrez avec elle dans des ruelles labyrinthiques sans fin, riant et laissant vos doigts courir le long des murs pierreux en chemin.

X. Tu ignoreras sa beauté

L’homme qui entraîne son esprit à refréner les systèmes de récompense de son cerveau lorsqu’il songe à un beau visage féminin transformera magiquement ses interactions avec les femmes. Son appréhension et sa gêne s’évanouiront, ouvrant la voie à des interactions plus honnêtes et maîtrisées avec l’objet de son désir. C’est une raison pour laquelle les plus grands Don Juan sont débordés d’amour plus qu’ils n’en peuvent manier : à force d’expériences positives avec tant de belles femmes ils perdent leur sidération devant la beauté et, ensuite, leur impuissance sous son charme. Cela vous aidera à acquérir le bon état d’esprit si vous cessez d’utiliser les mots « sexy », « mignonne », « superbe » ou « belle » pour décrire les filles qui vous plaisent. À la place, dites-vous « elle est intéressante » ou « elle peut valoir de faire sa connaissance ». Ne complimentez jamais une nana sur son apparence, surtout une que nous ne baisez pas. Débranchez cette partie de votre cerveau qui veut les mettre sur un piédestal. Un entraînement plus avancé pour atteindre cet état de transcendance zen sans émerveillement est de coucher avec beaucoup BEAUCOUP de femmes attirantes (essayez d’éviter de coucher avec beaucoup de femmes moches si vous ne voulez pas régresser). Bientôt, un Jedi-lover tu seras.

XI. Tu seras irrationnellement sûr de toi

Peu importe votre situation dans la vie, avancez dans le monde sans honte ni excuses. Il n’est pas important que vous ne soyez pas objectivement le meilleur homme qu’une femme puisse avoir ; l’important est de penser et agir comme si vous l’étiez. Les femmes ont un flair instinctif pour découvrir les faiblesses chez les hommes ; ne leur facilitez pas la tâche. La confiance en soi, justifiée ou pas, déclenche des réponses émotionnelles de soumission chez les femmes. Être irrationnellement sûr de soi vous apportera plus de chatte que le défaitisme rationnel.

XII. Tu maximiseras tes points forts et minimiseras tes faiblesses

En nous améliorant en tant qu’hommes, nous attirons des femmes dans notre orbite. Pour accomplir cette attraction gravitationnelle sans peine et aussi efficacement que possible, vous devez identifier vos talents naturels et vos lacunes, et répartir vos efforts en conséquence. Si vous êtes un blagueur doué, ne gaspillez pas votre temps et votre énergie à essayer d’élever votre statut dans un débat philosophique. Si vous écrivez bien mais dansez mal, ne vous tuez pas à essayer d’étendre votre influence virile sur la piste de danse. Votre but devrait être d’attirer des femmes sans effort, alors jouez vos points forts quels qu’ils soient ; il y a une groupie pour chaque entreprise masculine. Sauf World of Warcraft.

XIII. Tu pécheras par excès d’audace, plutôt que par manque

Toucher peu convenablement une femme dès le premier rendez-vous vous emmènera plus loin que ne pas la toucher du tout. Ne laissez pas la fausse indignation d’une femme devant votre audace vous faire chanceler ; elles aiment secrètement qu’un homme pourchasse agressivement ce qu’il veut et fasse connaître ses intentions sexuelles. Il n’est pas nécessaire d’être un connard, mais si vous n’avez pas le choix, être un grossier connard vaut toujours mieux que d’être un bêta poli.

XIV. Tu la baiseras bien

Baisez-la comme si c’était votre dernier coup. Et le sien. Baisez-la si bien, si fort, obscènement, licencieusement, qu’il ne reste d’elle qu’une masse tremblante et étincelante de chair et de fluides sexuels. Épuisez-la entièrement, épuisez-la encore. Embrassez-la partout, faites-lui l’amour toute la nuit et serrez-la contre vous au matin. Prenez son corps, prenez sa gratitude, prenez son amour. Si vous ne savez pas comment, apprenez à lui donner des orgasmes liquides.

XV. Tu garderas le contrôle

Vous êtes un chêne. Vous ne vous laisserez pas manipuler par les pleurs, les cris, les mensonges, les manigances, la privation sexuelle, les stratagèmes de la jalousie, la comédie de la pitié, les interropièges, le chaud-froid-chaud-froid, les numéros de disparition ou les épisodes culpabilisants. Elle tonnera et tempêtera autour de vous et vous l’abriterez jusqu’à ce que sa tempête passe. Elle ne vous entraînera pas dans son chaos ni ne vous déracinera. Quand vous aurez la maîtrise de vous-même, vous aurez la maîtrise d’elle.

XVI. Tu ne craindras jamais de la perdre

Vous ne devez pas craindre. La crainte tue l’amour. La crainte est le triomphe de l’égo qui mène à la solitude abjecte. Vous ferez face à votre crainte. Vous la laisserez passer sur vous et en vous. Et quand votre crainte-égo sera partie, vous vous tournerez et regarderez votre aimée, et seul votre cœur restera. Vous vous éloignerez d’elle quand elle aura enfreint votre intégrité, et vous la laisserez partir quand son cœur vous sera fermé. Celle qui peut vous détruire vous contrôle. Ne lui donnez pas ce pouvoir sur vous. Aimez-vous avant de l’aimer elle.

Au plus près de la lettre vous suivrez ces commandements, plus facilement vous trouverez et garderez un véritable amour inconditionnel et le bonheur dans votre vie.


Certains de mes commentateurs sous le billet des seize commandements semblent confus. J’ai pensé que ce serait une bonne idée de répondre à leurs objections.

La rendre jalouse, faut le faire avec précautions. Trop de flirt avec une autre femme pourrait l’amener à te larguer.

Évidemment, il ne s’agit pas de flirter ouvertement avec toutes les femmes qui passent quand la copine/épouse est avec vous. Il y a des rendements décroissants passé une certaine adhésion excessivement servile aux commandements. Même les super-alphas peuvent surjouer leurs atouts. Mais vous seriez surpris de voir à quel point vous pouvez vous en tirer (et par « s’en tirer » je veux dire « chauffer sa copine pendant qu’elle vous voit flirter effrontément avec d’autres femmes »). « Elles aiment secrètement qu’un homme pourchasse agressivement ce qu’il veut et fasse connaître ses intentions sexuelles. » C’est DE LOIN la plus grande erreur que font les hommes sans expérience.

Un « homme faisant connaître ses intentions sexuelles » ne signifie PAS aller voir des nanas au hasard et leur demander si elles veulent baiser. J’espère que même les bêtas sans expérience comprennent ce concept élémentaire.

Une question : l’influence de l’âge de la femme sur l’applicabilité ?

Seulement quantitative, pas qualitative. Bien sûr, plus elle se rapproche du Mur, moins vous avez besoin de jouer. À la fin, éventuellement, se montrer peut suffire.

Si un homme est assez alpha pour avoir une paire de femme « en réserve », il n’a pas besoin de ce genre de conseils, pour commencer.

Il n’en a pas besoin parce qu’il les utilise déjà. C.Q.F.D.

On pourrait penser que ces commandements soient comme un comportement par défaut chez tous les hommes, pas seulement l’apanage des Casanovas habiles. Et pourtant ce n’est pas le cas. En fait, beaucoup — la plupart — des hommes suivent l’approchent exactement opposée. Pourquoi cela ?

C’est une question intéressante, pourquoi le comportement des commandements ne vient pas naturellement à la plupart des hommes. C’est comme si s’habiller de façon provocante, battre des cils, faire la timide et montrer un peu ses jambes ne venait pas naturellement aux femmes en chasse… Nous savons que ce n’est pas vrai pour la majorité des femmes. Tout ce que je sais, c’est que si tous les hommes suivaient ces préceptes, il y aurait beaucoup plus de baise dans le monde, ce qui résulterait en beaucoup plus de sourires joyeux sur les visages des sexuellement satisfaits.

Non seulement le gars moyen, mais personne ne peut suivre ces commandements tout le temps. Certains sont meilleurs que d’autres, mais tout le monde chute un jour. Essayer de suivre ces commandements c’est comme essayer de lutter contre sa nature humaine et de ne plus vraiment ressentir quelque chose. […] En essayant de combattre vos sentiments, vous avez fait quelque chose de très « mâle » : essayer de résoudre un problème.

Il est inutile de suivre à la lettre la loi biomécanique chaque minute de la journée. Ajuster simplement son attitude et sont état mental d’aussi peu que 10% afin d’agir plus en alignement avec sa polarité yang peut faire la différence entre une rupture et la béatitude relationnelle. Chuter de temps en temps n’est pas la même chose que de rester à terre, ce qui est la façon de vivre de beaucoup de bêtas endurcis.

Puisque ce sont les hommes qui sont choisis dans la danse d’accouplement, ils doivent être plus conscients de la réalité que les femmes. Si les hommes ignorent la réalité, ils risquent le célibat involontaire. Si une femme semble attirante (la plupart d’entre elles, durant leurs années de plus grande fertilité), elle peut ignorer la réalité autant que son cœur le souhaite tandis que des licornes et des arcs-en-ciel l’inondent de gouttelettes de cellophane, et elle aura quand même des prétendants faisant la queue jusqu’au coin de la rue pour la baiser. C’est pour cela que l’homme œuvre à « résoudre le problème » quand il y a un problème. Ce n’est pas une lutte contre ses sentiments, c’est l’ADHÉSION à son sentiment qu’il doit faire tout ce qu’il faut pour satisfaire ses désirs.

Ne soyez pas surpris si les tactiques et la manipulation attirent des semblables. Enfin, trop concerné par être alpha = bêta.

Toute communication dirigée vers un but est manipulatoire. (Demandez-vous : la publicité est-elle mal ?) Le séducteur naturel manipule autant que le bêta recrachant son sketch pour ressembler au naturel. La différence est que le séducteur naturel le fait instinctivement. La manipulation ne devient pas magiquement noble juste parce qu’elle est faite à un niveau inconscient, tout comme notre système immunitaire n’est pas plus noble que les médicaments synthétiques fait par l’homme pour combattre les maladies. À savoir : nous sommes tous manipulés par nos gènes, en cet instant.

« trop concerné par être alpha = bêta. » Les alphas naturels sont très concernés par le maintien de leur statut. Ils sont juste plus doués pour le cacher tranquillement.

En fait, un alpha n’a pas à tomber amoureux pour se rendre ridicule. Être juste trop arrogant, et trop avide de sexe, même du genre occasionnel, peut le mener vers une sérieuse humiliation.

Contrairement à votre argument, vous avez décrit un bêta. Un alpha sait ne pas être arrogant ou trop avide. Et tomber amoureux n’est pas bêta, mais exprimer ses sentiments amoureux avant que la femme ait sauté le pas pour son homme c’est flirter avec le désastre du bêta. Je pense que, dans l’ensemble, il a raison dans la phase de séduction, mais beaucoup de ces règles finiront en désastre si elles sont appliquées à une relation stable. Je pense qu’il est parlant que presque tous les artistes de la drague ne puisse garder une relation ET SE FONT JETER. Quelque chose me dit que les trucs de drague échouent tout simplement quand on les applique dans des relations à long terme.

Parmi les artistes de la drague que je connais, beaucoup d’entre eux sautent d’une relation à l’autre parce qu’ils aiment la variété. Le minou frais est une puissante addiction, et si vous êtes capable de monter le score, vous serez moins enclin à vous sangler dans une relation monogame. Personnellement, j’aime le meilleur des deux mondes : l’amour avec une femme incroyable, épicé par des relations occasionnelles.

Les hommes sont plutôt plus émotionnels que les femmes. Mais ils sont moins expressifs. Cela peut résulter paradoxalement en des émotions plus fortes.

Les hommes ont des hauts et des bas émotionnels plus grands qui trouvent souvent leur expression sous une forme physique, comme dans la baise passionnée, la bagarre ou aller de l’avant. Les femmes ont un bourdonnement d’émotions plus constant à un niveau de base plus élevé que les hommes, mais avec des hauts et des bas moins forts. Les femmes gèrent leur bruit émotionnel en parlant sans cesse à qui veut les écouter, tout comme on relâche une surpression de vapeur en ouvrant doucement la soupape. Voyez la plupart des blogueuses à ce sujet.

Ses commandements sont peut-être bon pour « la foune », comme l’énonce le titre, mais sont nuls pour garder « un véritable amour inconditionnel et le bonheur dans votre vie », comme le suggère la dernière phrase. Mais qu’en sais-je ? Je ne suis qu’une nana.

L’essence psychologique d’une femme ne change pas radicalement après qu’elle a passé plus de trois mois avec un homme. Son cerveau ne se reconfigure pas en une entité entièrement nouvelle, méconnaissable par rapport à la femme qu’elle était au premier rendez-vous, une fois qu’elle s’est engagée dans une relation. Les différences entre les sexes sont un noyau immuable de caractéristiques contraignantes. Ce qui excite une femme durant les premières heures l’excitera la dixième année. Les commandements sont également efficaces pour les relations à long terme et les coups d’un soir. La seule chose qui diffère est l’intensité d’administration des commandements. Si vous ne me croyez pas, observez les hommes qui font l’exact opposé de tous mes commandements avec la femme de leur vie, et regardez les déchirer douloureusement leur chemise en se demandant pourquoi ils ont été éjecté pour de moins « vertueux » intrus.

Et depuis [mon mari] a commencé à être plus attentif et affectueux.

Être attentif et affectueux et suivre mes commandements n’est pas mutuellement exclusif. En fait, c’est un renforcement mutuel. Réfléchissez-y.

Jouer des tours dans un mariage plutôt que trouver simplement un partenaire adéquat dès le départ semble indiquer la fausseté du couple plutôt que la justesse de ces « commandements ».

Les commandements ne consistent pas à « jouer des tours », pas plus qu’être un bon approvisionneur ne consiste à jouer des tours. Ils consistent à reconnaître la réalité et donner à la femme que l’on aime ce qu’elle désire vraiment. Les partenaires adéquats ne tombent pas des arbres sur le bord de la route. Il faut les trouver, les courtiser, et les nourrir d’amour, comme un jardin. J’espère que cela aide.

Bien à vous, dans la conscience orgasmique universelle.

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