Ceci est une traduction des fameuses maximes de James C. Weidmann, dit « Roissy », auteur du blog Château Heartiste et l’un des piliers de l‘androsphère américaine entre 2007 et 2019. Lisez-les lentement, prenez le temps de les méditer. Si vous ne les comprenez pas encore, cela viendra avec l’expérience. — TB
Maxime n°4 : Ne faites jamais confiance à quelqu’un qui n’a pas le sens de l’humour.
Lorsque je lis l’avalanche d’études publiées à présent, presque chaque semaine, qui démentent presque tous les grands points de doctrine féministes, je me pose deux questions. Premièrement : pourquoi tant de femmes ont-elles prêté allégeance à cette idéologie nocive et, deuxièmement : pourquoi tant d’hommes bêtas suce-boules ont-ils suivi le mouvement ?
Pour la première, je soupçonne que les personnalités masculines yang des meneuses féministes ont poussé ce petit segment de la population féminine à délibérer et avancer une nouvelle philosophie qui correspondait plus étroitement à ce dont elles étaient personnellement convaincues, et qui les rendrait heureuses dans la vie. De nombreuses grandes gueules féministes sont des gouines mâles, ce qui signifie qu’elles sont très éloignées du vécu des femmes hétérosexuelles normales, et les meneuses féministes qui sont hétéros possèdent de nombreux traits de caractère que nous associons aux hommes à forte testostérone. Comme l’énergie furieuse, la colère vertueuse, l’amour de l’argumentation abstraite, le souci du contrôle, de l’argent et de la compétition, ainsi qu’une aversion intense pour la soumission.
Ces guerrières du genre au nom de toutes les femmes, autoproclamées, ont été soutenues par des médias bienveillants, remplis du même type de carriéristes agressives. Le flot de cette voix belliqueuse, unie pour le changement, a entraîné un nombre important de jeunes femmes naïves dans la marée d’amertume anti-masculine. À l’apogée du féminisme, la vraie science (c’est-à-dire pas les sciences humaines déconstructionnistes post-modernes) n’avait pas encore rattrapé les mensonges accumulés par les vieilles filles, de sorte que les harpies ont pu continuer sans entrave pendant des décennies à laver le cerveau des étudiantes jusqu’à ce que leurs sous-fifres crient par réflexe « plafond de verre ! » et « oppression patriarcale ! » sans la moindre trace d’humour.
Roissy, « Alert the Media: Women Happier as Women », 2007
Maxime n°5 : Le physique d’un homme n’a pas autant d’importance pour les femmes que le physique d’une femme en a pour les hommes.
Voici deux profils de rencontres en ligne. Le profil de gauche est féminin, celui de droite masculin. L’oculométrie montre que les hommes et les femmes regardent longuement le visage de la femme. La photo du profil masculin, en revanche, ne retient pratiquement pas l’attention, quel que soit le sexe ! L’attention se porte davantage sur les informations de fond, c’est-à-dire sur son histoire et son identité.
Les expériences sur le regard fournissent des preuves solides que la Valeur sur le Marché Sexuel d’une femme est principalement fonction de son apparence, alors que la VMS d’un homme est multivariable. Les déclencheurs d’attraction des femmes sont holistiques. Les femmes mesurent et jugent inconsciemment une foule de caractéristiques de personnalité d’un homme, psychologiques et contextuelles, avant que leur excitation ne se transforme en désir conscient. […]
Les hommes qui comprennent la vérité innée de la maxime ci-dessus réussiront mieux avec les femmes que les hommes qui abandonnent tout espoir parce qu’ils sont tristes que leurs mâchoires soient trop étroites de 0,1 micromètre.
Roissy, « Eye Gaze Experiments Demonstrate Holistic Female Attraction Triggers », 2014
Maxime n°6 : Ne. Jamais. Faciliter. La. Tâche. À. Une. Femme.
Lorsqu’une fille vous demande « À quoi penses-tu en ce moment ? », sachez que c’est un code pour dire : « Je craque vraiment pour toi et je veux savoir si tu ressens la même chose pour moi. » Ne soyez pas un bêta sérieux et ne commettez pas l’erreur de mordre à l’hameçon ! Évitez à tout prix de dire « Je crois que je suis amoureux de toi. » ou « Je pense à nous. » Dites plutôt quelque chose comme : « Je ne peux pas penser en ce moment parce que tu as paralysé mes pensées. » Ou, si vous voulez rester simple, dites : « Hmm, rien. »
Roissy, « Stray Thoughts On The Nature Of The Game », 2008
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