Traitement préventif (3)

Ceci est le troisième volet d’une traduction d’un quadruple billet de Rollo Tomassi proposant un modèle des phases de l’hypergamie au cours de la vie d’une femme. Le texte original a été publié en 2014 sur therationalmale.com. — TB

Avant de continuer avec cette étude, je vais prendre un moment pour clarifier le but de ce schéma :

Chronologie de l'hypergamie

Il est important de se rappeler que cette chronologie doit servir d’indication générale de la maturation des femmes et des priorités qu’elles donnent aux attributs attirants des hommes durant ces phases de leur vie.

Dans sa conception, ce graphique n’est pas destiné a être une esquisse spécifique rendant compte des circonstances individuelles de chaque femme, mais plutôt une série de phases assez prévisibles, coordonnées avec des évènements, des attitudes et des schémas mentaux se produisant durant ces phases. La perspective que j’ai approchée dans cette esquisse est celle d’une femme sans attache (célibataire à long terme) ou semi-monogame avec l’option sociale et personnelle de tirer parti de sa capacité sexuelle, ainsi qu’un degré subjectif de contrôle sur la direction de sa vie (ou la forte impression qu’elle en a le contrôle).

Bien sûr, il serait ignorant de présumer que les circonstances individuelles de toutes les femmes suivent la même série de cas, sujets aux mêmes circonstances. Dans la vie de n’importe quelle femme il y a bien trop d’éventualités subjectives à considérer pour rentrer dans le cadre d’une série d’articles (je pourrais dédier un livre à ce seul sujet), et c’est pourquoi j’ai détaillé ces phases en termes aussi généraux que j’ai pu.

Usage

Pour en venir au sujet, c’est à chaque homme de déterminer comment la condition personnelle d’une femme, ses décisions passées et le résultat de sa pudeur ou de son impudeur passée contribuent à ses motivations durant ces phases générales de la vie. Il est entièrement possible, sinon probable, qu’une femme ait pu se marier ou devenir mère célibataire durant chacune des phases que j’ai détaillées. Il n’est pas improbable non plus qu’une femme puisse être une monogame-en-série, ou qu’elle se soit mariée durant ses années de fêtes. L’art de déterminer ce qui motive une femme selon la phase dans laquelle elle se trouve, sa socialisation, et comment ses circonstances modifient celle-ci ou s’en trouvent modifiées, c’est ce que le « A » de Artiste de la Drague [NdT : dans le texte, « PUA », Pick Up Artist] représente — le talent artistique.

Dans la détermination de ce qui motive le comportement et l’état d’esprit d’une femme, la partie importante est le cadrage de ses circonstances personnelles dans cette esquisse des phases de la vie des femmes. En général, les phases et la progression de la maturité (sociale, personnelle et biologique), la priorité donnée aux attributs attirants des hommes, et les comportements ainsi motivés ne changent pas beaucoup pour les femmes dans l’ensemble. Il s’agit de considérer comment les circonstances individuelles d’une femme œuvrent pour ou contre cette progression, et comment vous, en tant qu’homme, pouvez d’abord déterminer si cette femme vaut à divers degré votre investissement, puis tirer parti de ce que vous savez de sa condition et des phases de la vie qu’elle traverse pour votre bénéfice (mutuel).

Si vous passez en revue mes billets accumulés vous verrez comment je cadre mes observations individuelles et ma compréhension de sujets spécifiques, à la fois en les reliant aux phases de la vie des femmes et à leurs circonstances personnelles. C’est une part de mon processus d’écriture depuis que j’ai commencé à poster des messages sur le forum SoSuave, mais dans la vraie vie, sur le moment, vous avez besoin d’une compréhension basique : à qui vous avez affaire et ce qui la motive d’après les priorités qu’elle se donne et donne aux hommes à chaque phase de sa vie — et aussi de considérer les influences sociales auxquelles elle est sujette.

Qu’est-ce que ça peut faire ?

Pour l’instant, tout ceci semble probablement beaucoup d’efforts et d’ennuis. « Qu’est que ça peut foutre, Rollo ? Si je devais démêler la psyché et la socialisation d’une fille à chaque fois que je veux un nouveau cul, je serais moine. » En vérité, à des niveaux de conscience variés, vous faites déjà la plupart de ces estimations d’une femme quand vous investissez des efforts en elle (dans le jeu de séduction) — même si c’est juste pour baiser. Vous ne réalisez peut-être pas que vous le faites, et votre investissement dans une femme est lui-même affecté par votre propre conditionnement, vos déficiences et vos forces, mais soyez assuré que vous faites ces estimations. La différence maintenant est que vous avez un schéma pour être plus consciemment conscient du cadre dans lequel vous faites ces estimations — c’est une pierre angulaire de la pilule rouge [NdT : la compréhension des relations entre les sexes].

Comprendre ce qui motive une femme à chaque phase de sa maturation n’est pas terriblement difficile à comprendre… une fois que l’on a soi-même fait l’expérience de cette phase avec une femme. Et c’est l’intention du développement de ce schéma : aider les hommes (jeunes) qui ne bénéficient pas de cette expérience souvent préjudiciable, à estimer de façon informée les motivations des femmes qui peuvent les intéresser à différents stades de leur maturité.

Il est également important de comprendre comment les conventions sociales et les raisonnements qu’une société centrée sur les femmes soutient et propage s’inscrivent dans leur propre idéologie, et comment cela absout la nature déjà égocentrée des femmes de leur responsabilité personnelle à mesure qu’elles mûrissent. Il est aussi important de comprendre la culpabilité et le regret qui résulte de ne pas avoir atteint, à un certain stade de développement, le niveau que les femmes sont convaincues, par ces attentes et conventions sociales, de mériter. Les femmes sont enclines à être à la fois les responsables et (plus tard) les victimes de ces conventions, telles qu’elles sont.

Avec l’avènement des communications instantanées, les hommes n’ont commencé que récemment à résoudre le puzzle concernant la façon dont ces conventions sociales ont été établies pour se corréler aux décisions que les femmes prennent pour elles-mêmes, et la fluidité avec laquelle ces conventions leur permettent de rationaliser le résultat de leurs décisions. L’hypergamie a toujours été l’hypergamie, pour les femmes, mais jusqu’à ce que la Révolution sexuelle « libère » les femmes des équilibres sociétaux et idéologiques qui précédemment contenaient l’hypergamie, il y avait moins besoin d’une myriade de conventions sociales à présent nécessaires pour compenser la culpabilité (psychologique et sociologique) des femmes dans cette nouvelle « liberté ».

Chronologie de l'hypergamie entre 20 et 36 ans

La phase de sécurité

Les priorités d’une femme en terme d’attraction (pas nécessairement d’excitation) dépendent des nécessités dictées par la phase de la vie dans laquelle elle se trouve.

Une raison de situer le maximum de Valeur sur le Marché Sexuel des hommes à environ 36-38 ans est leur relative capacité à atteindre les caractéristiques et les accomplissements que les femmes trouvent le plus désirable pour un engagement à long terme à peu près au moment où les femmes ont le plus besoin de ces qualités.

Lorsque les femmes approchent de la phase de révélation (et plus tard du Mur) et réalisent le déclin de leur propre VMS (en comparaison avec les femmes plus jeunes), elles tendent progressivement à être attirées par les qualités d’un homme qui fourniront le mieux la sécurité à long terme que le versant « bêta douille » de leur hypergamie réclame.

Trop d’imbéciles pilule bleue [NdT : naïfs sur les relations entre les sexes] ou pilule violette [NdT : se mentant sur les relations entre les sexes] se plaisent à rejeter les réalités de la VMS que mon graphique décrit en comparant les désirs d’une fille de 23 ans au sommet de sa VMS avec la valeur acquise qu’un homme au sommet de sa VMS représente pour le double besoin de l’hypergamie dans sa globalité. Ce qui maximise la VMS d’une femme à son sommet n’est pas égal à ce qui maximise la VMS d’un homme à son sommet.

Évolution de la valeur des hommes et des femmes sur le marché sexuel

Durant ce que j’appelle la phase de sécurité, les priorités d’attraction des femmes s’orientent vers le potentiel d’approvisionnement de l’homme. Alors que cet attrait neuf pour les qualités intrinsèques d’un homme est ouvertement exagéré durant cette phase, c’est essentiellement la capacité prouvée d’un homme à approvisionner en excès lui-même, une partenaire potentielle et une famille qui est la clé de cette attraction. Ce sont les qualités socialement attendu d’un homme au sommet de sa VMS, précisément au moment où une femme se trouve dans le plus grand besoin de ces qualités et de l’approvisionnement.

C’est durant la phase de sécurité que les femmes commencent à changer leurs attentes, et à déplorer ouvertement leur frustration de ne pouvoir obtenir un engagement de la part de ce qu’elles perçoivent comme un homme socialement équitable. Les conventions sociales déjà en place pour les femmes dans cette phase leur rendent confortable de tenter de culpabiliser les hommes pour qu’ils se conforment à leur besoin de sécurité à long terme. C’est la phase où il est le plus probable d’entendre une femme se plaindre de « l’égo fragile » des hommes menacé par les « femmes fortes et indépendantes® » ou quelque autre frustration à propos des hommes ne coopérant pas avec le déclin rapide de sa double stratégie sexuelle.

Résolution

L’anxiété de sécurité et le conflit avec la VMS déclinante dont une femme fait l’expérience lui imposent deux possibilités : elle peut continuer de croire que sa VMS est toujours compétitive vis-à-vis de ses concurrentes (une autre convention sociale destinée à apaiser les femmes irréalistes et à retarder encore un engagement dans une relation à long terme), ou elle peut se contenter d’un homme hypergamiquement inférieur qui incarnera avec gratitude ce que le versant approvisionnement de son hypergamie réclame. Si elle a suivi le programme « alpha couille » durant ses années de fête, il est aussi possible qu’elle se trouve être une mère célibataire à la recherche d’un approvisionneur pour l’assister dans l’investissement parental auquel l’alpha, fournisseur des gènes, n’a pas pris part (ou de façon limitée).

Je devrais mentionner que les phases de transition et de sécurité sont le point où le conditionnement féminin de la plupart des hommes (c’est à dire des bêtas) est à point pour l’impératif féminin. Les approvisionneurs bêtas qui ont patiemment attendu le moment de leur justification sexuelle trouvent leur moment d’attraction maximale — et il n’est pas rare que ce soit avec les mêmes femmes qui n’avaient rien à faire d’eux durant leurs années de fête.

Mais le bêta bien conditionné n’est rien sinon patient et consciencieux dans son rôle primaire féminin, et c’est à cette phase qu’il commence à voir les dividendes de son inébranlable soutien à la cause féminine. Sa volonté de pardonner à une femme « l’impudeur » de ses années de fête sera, croit-il, un investissement dans un capital relationnel que toute femme « rationnelle » appréciera.

Il est important de comprendre que l’ingénierie sociale de l’impératif féminin conditionne les bêtas à être prédisposés à cette mentalité (ainsi qu’au rôle de « chevalier blanc ») précisément au moment où les femmes ont le plus besoin de leur approvisionnement — le point où la VMS de la femme décline et celle de l’homme monte.

Durant la phase de sécurité, l’aisance économique, la capacité d’approvisionnement et le statut qui devrait y être associé deviennent les attracteur principaux pour les femmes. Le désir d’une attirance et d’une excitation physiques sont toujours des facteurs d’attraction, mais les indices de maturité, d’aisance et autres qualités intrinsèques deviennent une priorité. Cela ne veut pas dire qu’une opportunité d’accouplement avec un alpha excitant sera ignorée (particulièrement au moment de l’ovulation), mais la sécurité à long terme passe en priorité.

Les femmes qui consolident un engagement monogame durant cette phase (ou dans leur phase de révélation) passent généralement par une série de rationalisations de leur décision d’épouser le « bon papa » plutôt que le « père aux bons gènes ». C’est l’effort dans lequel les femmes s’engagent pour se justifier d’avoir consolidé le versant sécurité de leur stratégie sexuelle hypergame. Une fois que les enfants font partie de sa réalité, cette routine doit être mise de côté, mais c’est un conflit psychologique qu’elle résoudra soit en quittant finalement son approvisionneur (et en cherchant son remplaçant alpha) ou en se convaincant, elle et sa conscience hypergame, qu’elle a en fait optimisé son hypergamie avec l’homme dont elle s’est contentée.

Lorsqu’une femme approche de la fin de la phase de sécurité et que sa progéniture devient plus autonome, elle devient rétrospectivement plus critique de sa phase de révélation, et plus réaliste sur ses vraies raisons d’être passée par là.

La phase de développement

Parce que la capacité d’une femme d’attirer son idéal hypergame décline à chaque année qui passe, l’urgence réclame une immédiateté avec un homme incarnant autant que possible cet idéal dans le présent.

L’hypergamie prend le grand risque de parier sur le potentiel futur d’un homme à devenir (ou se rapprocher d’être) son idéal hypergame, donc tend à rechercher de préférence un homme plus avancé que les autres.

Le problème dans ce scénario, comme vous pouvez le deviner, c’est que la VMS des femmes se déprécie pendant que celle des hommes s’apprécie — ou du moins devrait s’apprécier. La même hypergamie qui teste constamment et met en doute l’adéquation d’un homme à assurer sa sécurité limite aussi son potentiel à la satisfaire.

Entre la phase de sécurité et la phase de développement se trouve généralement la période durant laquelle une femme a satisfait le besoin de sécurité de son hypergamie (« bêta douille ») par l’homme avec lequel elle a consolidé une sécurité à long terme durant sa phase de révélation-transition.

Avant que je développe davantage, je doit souligner que cette phase particulière peut parfois précéder les phases de révélation-transition pour une femme qui, en raison des circonstances (par exemple une grossesse non-désirée), par conviction personnelle, ou simplement en s’accouplant avec un homme dont elle croit qu’il a un grand potentiel futur ou lui semble tellement au dessus de sa propre VMS prévisible (apparence, aisance ou statut/célébrité) qu’elle se sent obligée de consolider avec lui. Cette phase de sécurité précoce peut aussi être le résultat d’une expérience particulièrement mauvaise qu’une femme a eu durant ses années de fête avec un alpha — dont le traumatisme émotionnel l’a convaincue de se connecter avec un bêta satellisé qui fut assez patient (et chanceux) d’être son soutien compréhensif et consciencieux au bon endroit et au bon moment.

Plus couramment cependant, cette phase se produit habituellement dans une fenêtre de 7 à 9 ans, juste après qu’une femme a consolidé (ou aurait du consolider) sa sécurité à long terme avec un homme, et cela habituellement après sa transition hors de ses années de fête en faisant face à l’urgence de trouver cet homme prospectif.

Il est important de séparer les circonstances affectant les femmes qui ont réussi à se mettre en couple avant cette phase de celles des femmes qui sont restées célibataires, ne se sont jamais mariées ou ont divorcé tôt. Entre les âges de 27 et 37 ans ces circonstances définissent comment une femme s’implique et envisage ses phases de développement et de redéveloppement.

Sept ans de démangeaison

Durant cette période de 7 à 9 ans, une femme mariée se contentera probablement d’un semblant de domesticité telle que le gynocentrisme l’a défini pour elle. Cela inclura probablement un rôle de travail-maternité mais, pour la plupart, les vestiges de ses années de fête deviendront quelque chose dont elle ne souhaite pas se rappeler, particulièrement si elle s’est contentée d’un approvisionneur qui ne la fait pas frissonner comme ses amants alphas le faisaient, et elle se fatiguera graduellement de son étonnement plaintif qu’elle ne soit plus aussi sexuelle avec lui à présent qu’ils sont mariés avec des enfants.

Il y a une très intéressante convention sociale qui accompagne cette phase pour la femme mariée, il y a même eu un film dédié à cela, intitulé The 7 Year Itch [NdT : Sept Ans de réflexion]. C’était un film mignon, mais basé sur un phénomène psychologique très réel. Cette mignonne convention sociale tourne autour de l’idée qu’un homme se met à reluquer mystérieusement les vagins étrangers après avoir été marié pendant 7 ans (un chiffre magique). La réalité est que la plupart des mariages tendent à se dissoudre à deux stades, après le cap des 7 ans et à nouveau après le cap des 20 ans.

Cela est principalement dû aux couples ayant au moins un enfant (peut-être deux) et après 7 ans, cet enfant devenant plus autonome, l’homme et la femme évaluent leur relation. Dans une perspective évolutionniste, ce serait le moment où un enfant est plus ou moins autosuffisant avec un minimum d’investissement de la part de l’homme, mais dans les relations contemporaines c’est aussi le moment où une femme a eu assez de temps pour réévaluer sa décision, lors de la phase de révélation, de s’accoupler à l’approvisionneur (père de ses enfants ou pas).

Juste pour être complet, le cap des 20 ans est généralement le point où les enfants ont « quitté le nid » et une seconde réévaluation a lieu. À suivre dans la quatrième partie.

Comment finir seule

Pour une femme ne pouvant ou ne voulant se fixer, faire des compromis ou consolider autrement une monogamie à long terme, la phase de sécurité devient un effort personnel pour générer cette sécurité par elle-même. Cette sécurité peut s’accompagner de l’aide généreuse d’un État gynocentré, ou d’une pension alimentaire et/ou d’une prestation compensatoire provenant d’un mariage ou d’une grossesse précédant cette phase, et bien sûr elle peut ignorer entièrement les impératifs de son horloge biologique (la fenêtre de fertilité) et redoubler d’efforts dans son propre conditionnement masculinisé en s’approvisionnant exclusivement pour elle-même (croit-elle). C’est l’origine des hyènes.

Puisque Roissy a délimité avec tant d’éloquence cette tranche d’âge, je vais terminer par sa description des célibataires de 31-34 ans.

D’une certaine façon, les femmes dans la tranche 31-34 ans sont les gonzesses plus dures à séduire. (Par « les plus dures », je veux dire : « les plus coûteuses en temps ».) Oui, c’est contre-intuitif, mais il y a d’autres facteurs à l’œuvre en dehors de leur beauté déclinante qui atténuent la possibilité d’une baise facile et rapide. Pour commencer, il est évidemment plus difficile de rencontrer des célibataires de 31-34 ans que des célibataires plus jeunes. Le mariage est encore une force limitant la chatte, que le dragueur invétéré doit affronter, mais les apprentis du Château travaillent dur en bataillant contre les fléaux et les perturbations du marché de l’accouplement causés par le meulage et le barattage de la machine du mariage.

Mais la plus grande raison pour laquelle les 31-34 ans sont plus dures à séduire que n’importe quel autre tranche d’âge chez les femmes est le méchant nœud de privilèges attendus et de préservation de soi qui se produit à cet âge chez les femmes. Quand on combine un sentiment disproportionné de ce qui vous est dû, alimenté par des années de féminisme, des payes et des promotions régulières, et le soutien des amis gays ayant des suspicions sur les intentions de chaque homme, et l’angoisse terrible d’être utilisée pour un plan cul sans proposition de mariage, vous obtenez une démone malfaisante, cracheuse de venin, en garde contre tout ce qu’elle pourrait percevoir comme une subjugation moins que totale à son besoin incessant de flatteries et son élévation princière sur un piédestal. […]

« J’ai plus de faciliter à coucher et sortir avec des filles de 23 ans que de 33 ans. »

Cela défie toute logique jusqu’à ce que vous le voyiez par les yeux du hamster faisant suer son cul soyeux dans le cerveau d’une femme. (La pauvre petite créature doit être épuisée au milieu de la trentaine.) Sûr, une fille de 33 ans n’est pas aussi bonne qu’elle-même à 23 ans, mais sa Défense Anti-Salope est au taquet, comme l’est sa représentation d’elle même en super denrée de valeur pour un mariage. Beaucoup de femme plus âgées se diront que leur expérience, leur maturité, leurs accomplissements et leur stabilité financière signifient qu’elles devraient avoir plus de valeur pour un homme cherchant une épouse qu’une jeune poupée à ramasser. Bien sûr, il faut qu’elles se disent cela, parce que la réalité ne rend pas ça facile à croire.

C’est le genre de femmes qui ont des plans cul avec des étudiants, parce qu’elles peuvent classer psychologiquement ces hommes comme des aventures « juste pour le plaisir ». Mais les hommes que les femmes de 31-34 ans veulent vraiment sont les hommes plus mûrs et établis qui leur donneront un mariage et une famille. C’est pour cela qu’il est contre-intuitivement plus dur de séduire les femmes plus âgées qui gardent un reste de leur attractivité juvénile : elles veulent et attendent tellement plus que les jeunes femmes.

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